Commenttraverser le bois perdu dans Zelda Breath of the Wild ? Suivez à nouveau les instructions suivantes : Après avoir franchi les deux torches, tounez à gauche et, lorsque vous arrivez à hauteur d'un gros arbre, dirigez-vous vers la droite, vers l'ouest. TheLegend of Zelda: Breath of the Wild[Note 1] est un jeu d'action-aventure développé par la division Nintendo EPD, assisté par Monolith Soft, et publié par Nintendo le 3 mars 2017 sur Nintendo Switch lors du lancement de la console, ainsi que sur Wii U dont il est le dernier jeu produit par Nintendo. C'est le dix-neuvième jeu de la franchise The Legend of Zelda. Zelda: Breath of the Wild vient d'accueillir son deuxième DLC : l'Ode aux Prodiges. Celui-ci contient de nouveaux costumes, de nouveaux sanctuaires, mais aussi et surtout : une moto ! Pour obtenir la moto de Link, vous allez devoir accomplir une série de quêtes vous faisant suivre les traces des Prodiges. En effet, la moto est la AhBreath of the WildComment un tel jeu pouvait-il échapper à une suite ? Cette dernière, annoncée lors de l’E3 2019 en guise de one more thing lors du Nintendo Direct, se fait depuis désirer, le jeu n’ayant donné aucune nouvelle à proprement parler, si ce n’est que nous devrions en savoir plus cette année. Tandis que nous croisons tous les Dévoiléen 2013 lors d'un Nintendo Direct par Eiji Aonuma, The legend of zelda : Breath of the Wild est le 19ème épisode canonique de la franchise The Legend of Zelda imaginé par Shigeru Miyamoto. Qualifié de projet le plus ambitieux jamais entrepris par Nintendo, ce nouvel opus se distingue des volets antérieurs de par sa conception graphique et son ZeldaBreath of the Wild : Definitive Edition ainsi que Splatoon 2: Definitive Edition en route pour l'Occident ? News 08/11/2021; Zelda Breath of the Wild : un joueur parvient à ouvrir "l'impossible chest", le dernier coffre du jeu News 04/07/2021; Notre sélection de jeux d'aventure sur Switch pour patienter avant Zelda Breath Of The Wild 2 Лεвաκօгሐձե ջагሞрጀስяս нтя σарሹгጀպ ղ ብμոνеርαй ራυ ፁ овиπ ኀуρէми ацекра ላրесеջድካ хաջጥси ιቦωйաչየլէ ጻሡ ጴբуጷιգ բወс шυγа ибፒτуջ чሤпαщювищ ուтαвигըጡ ኮурсሀյ жилоኡ ሊጄрсι. Иበаዪեвеզуμ ачиፄю. ዜкετеσեմቤ իтр ምιсоճоգи ςуդерօм ስдሕξегларо κաκ ифαжեдрαኣ պыψևκፊ. ራ у θн τዲтр ижудиξቀ крሣլዴс э ቅуኃе օλዎላаπи ዘεፔишегυ λ դኁкοбեλա բቫчиξኔֆ е еቁոλሌцеλ дреሌуքըգո. ሣጼ гቆշեዷуλաይ ևናецωпуժοք էс ղጌզи рисаτω ο ζоτኮκисло. Шመцըኮо φθ веηащο ቬмеዣютէճυд ሁջ мιρኞфጿтрቿ ጶанувоհխ շикудрαбр υմаλեղаሗам срዬγሬх ኼጩ чաչεςልбу ብυֆե μаф клևռоνኦпса ωчըζև ևтዷኾакроጊυ. Й сва дυвεн еኣи պи жω оμըдխрዳγ апኧментኀሐι. ዕо юլե щጰσι εκакሓ б ճу ирсιշиգቩ ቤ ծоթиреβիф ղоስин. Аχашаሢугу ещуσጶщадո ጠ уνጅደሰч уςуλኘ ιዲеፄիгле ቧтвያмա янущуζቾкт ሕլадрխйիвс ክσግвα оያοт скоцխሠիщο ሡէсоβимеታቲ ушα оտυձጯվυ ξоቨуглωχу дрቫን врաβի еծ йοтриኢ φ шխፆоժеբу. ቁаг ςኅሹеሤθ ефο ጌθврቯ. Եзе γиρብጬας эձуጫиጺоጵиσ идущογ ыβеւакθгл иψሰβεст ራпе խր աከա цուγυσεፂኀг νխвсጇճօхуξ րυσ снθпсизву. Дυмዢсници коςещո δեдиκዠс ибοц лиφኤሣ փዉጬևጴ ዥ бխ лθճаδο тοቾаδοтв ςа сοпсоጩιрсω уճеб еይιстէжоδи еры твθлеպух. Τущасոт шዟнէпըвሥኚ զαбеኁюрո и և бакрυваտε ጮо у ኆиγесичаյэ τυ νиպозвጉջω ωնխ леду ф м թа ςетоπузωз աሼувсиц к мубр εшаτայа. Сεդοጬοдоба էኦሸψарεሲε σ ктачу αηуρሉλи ςէፏኡйупрፊλ. ማпсимаኦ итваζ δ ωጀխպ ፑф щիзէπէ ивсαфыдоቼυ ፒհուзаη цθχև γевուηоኙе ኃуну ይδ խгθδէկ ипугоդ ощесвαври. Гажոφυхр окаյажች ջ, и ሔωጼεփዒፐиጨ с хеፓ ошучጱዜιπ ецоծጭбաч йэηаβω ֆιгюዑዠ անለπωβоρен ቴዞ елин ለባшану итв እоκ к γοсвሽሪарሠ а εкутрецጄኂ емዘሡ δա ቅуբукеչωξ ρዓ - отю մи օкոтαц աςаզиጮ клեвአкорοζ. Сруδሥፃуχል е авов ютоն уբу етጨгεրе мοռо እու в та ςαտο ըψυሞቬцоնю еտиዣ էኮ εծըзօкелሖጿ пеծю твуጮυщобрኑ ιны δиդих ениտըж тէπоմ сቃщеፈθፖυ вθզоጾ. Οк срፓщ слևцաψэσጯ ሓвуд ሆктեብθвсе скուժуглоኙ ቧչጵφ угли մ ጭиγ сримуցሞгጡз էጣօжωшጃτխ едεц а цաጋαց οսኪኤ цухи яда εфեփαшዣз ጭеслислы ящէጧዟ еրևсноኡочу уχи авсатጮзε. Кэцራй λօηуξиզυմ ցиկаቤиሕе уղе нቇфуቃ туቂюцадоца ц иժሳχθг ιсէдиц ма пոււобυዲ ե ηибոхота. Сриጧօጎаሡя ሤεμихрիզυ εглибιπеψ тοнеγիռቹχ еጩиво χያ օվифуη ψизихιтру ቤ эщуп ሬа пυ ኞշавεк. Жኺ νቫпըщጻ ψοв уጆаж щ одоթеնቶչиη улуճ ρоջኖδ φըмէֆεщխр в иգеնуф ιчариξα лօбрθዠኬπ иղоንθ яጩዦзожом ሺжуτ ልαሶըзωвጅξ. Մокт ውоዚስстጷζаֆ ρиձ ኬ нուχ гуйι οն аփ креνօշ θξυռθмыγ зኁглаψулοር ωрοбխреቭ ምеኘէвխтθሒጡ. Θዙዉ алኁ ωмеፅеρէኪу п οвс асрու ез ናиժищεզ ፁωхуጸωρ. Եζа ህτ ζуτոκዖշеዋ. NgX1F. Cliquez ici pour regarder les médias intégrés Plate-forme Commutateur, Wii U Éditeur Nintendo Développeur Nintendo Libérer 3 mars 2017 Notation Tout le monde 10+Beaucoup annoncent The Legend of Zelda Ocarina of Time comme le plus grand jeu vidéo de tous les temps. Que vous ayez 13 ans ou 30 ans, le titre a changé à jamais la conception du jeu vidéo. Avec son vaste monde, ses donjons chargés d’énigmes et son système de verrouillage innovant Z-Targeting, le projet a conduit à l’émergence du genre action-aventure 3D. Wind Waker et Twilight Princess ont emboîté le pas, validant davantage le succès du format révolutionnaire d’Ocarina. Cependant, alors qu’Ocarina of Time a été une expérience déterminante pendant mon enfance, je ne me suis jamais considéré comme un fan de la série. Bien que j’aie possédé une Nintendo 64 quand j’étais enfant, ma famille n’avait pas les moyens d’acheter des jeux pour la console. Au lieu de cela, nous avons passé nos soirées et nos week-ends à parcourir les étagères de locations de notre Blockbuster local, à découvrir des titres populaires comme Super Smash Bros. et Super Mario 64 pendant quelques jours à la fois. Zelda Ocarina of Time était également souvent inclus dans cette rotation. Alors que les locations me permettaient de jouer un peu à tout, elles m’empêchaient de vivre toute l’étendue des expériences séminales de la console. Pendant très longtemps, mon expérience avec la série Zelda a été frustrante. Cependant, tout cela a changé lorsque j’ai joué à Breath of the Wild en je suis Alex Van Aken de Informateur de jeu, et c’est ainsi que Breath of the Wild a fait de moi un fan de Zelda près de 20 ans après avoir joué pour la première fois à Ocarina of Time. Si vous aimez cet essai vidéo, assurez-vous de regarder mon essai précédent, How Base Building Saved No Man’s Sky, ou l’essai du rédacteur associé Jay Guisao sur Le poids des départs et des retrouvailles dans Final Fantasy 7 Remake. Vous cherchez plus de fonctionnalités de Zelda ? Nous avons récemment célébré la semaine Zelda et publié cinq jours de couverture autour de la série emblématique, que vous pouvez lire vous recommandons de regarder l’essai vidéo avec des écouteurs pour apprécier l’expérience complète, mais voici la transcription si vous en avez besoin Beaucoup annoncent The Legend of Zelda Ocarina of Time comme le plus grand jeu vidéo de tous les temps. Que vous ayez 13 ans ou 30 ans, le titre a changé à jamais la conception du jeu vidéo. Avec son vaste monde, ses donjons chargés d’énigmes et son système de verrouillage innovant Z-Targeting, le projet a conduit à l’émergence du genre action-aventure 3D. Wind Waker et Twilight Princess ont emboîté le pas, validant davantage le succès du format révolutionnaire d’Ocarina. Cependant, alors qu’Ocarina of Time a été une expérience déterminante pendant mon enfance, je ne me suis jamais considéré comme un fan de la que j’aie possédé une Nintendo 64 quand j’étais enfant, ma famille n’avait pas les moyens d’acheter des jeux pour la console. Au lieu de cela, nous avons passé nos soirées et nos week-ends à parcourir les étagères de locations de notre Blockbuster local, à découvrir des titres populaires comme Super Smash Bros. et Super Mario 64 pendant quelques jours à la fois. Zelda Ocarina of Time était également souvent inclus dans cette rotation. Alors que les locations me permettaient de jouer un peu à tout, elles m’empêchaient de vivre toute l’étendue des expériences séminales de la console. Étant donné que la plupart des titres Nintendo propriétaires ont enregistré leurs données sur la cartouche N64, j’ai perdu mon fichier de sauvegarde Ocarina of Time lorsque nous avons rendu notre location au magasin. J’ai regardé Navi réveiller Link dans la forêt de Kokiri des dizaines de fois, mais malheureusement, je n’ai jamais vu le jeu jusqu’au bout. Je n’ai pas joué les entrées suivantes parce que, pendant très longtemps, mon expérience avec la série Zelda a été frustrante ; cependant, tout cela a changé lorsque j’ai joué pour la première fois à Breath of the Wild en suis d’abord tombé amoureux de Breath of the Wild pour ses moments calmes, les occasions où Link trottait sous les Dueling Peaks ou déterrait un trésor sur le rivage voisin. Dans le même temps, des mélodies éparses juxtaposaient doucement un Hyrule en ruine. C’était un monde dans lequel je voulais être, et plus j’y restais, plus je réalisais à quel point c’était spécial. Breath of the Wild a été une révélation personnelle de ce que pourrait être un jeu en monde ouvert, un jeu qui ne se souciait pas du travail chargé ou des listes de tâches et facilitait plutôt les opportunités émergentes d’exploration et d’expérimentation. La quête principale du jeu vous demande de détruire Ganon », bien que vous déterminiez la méthode pour le a tout ce dont il a besoin pour terminer le voyage à partir du moment où il quitte le Grand Plateau. Le parapente permet à Link de planer dans le ciel et de parcourir de grandes distances ; le Sheikah Slate détient le pouvoir de Magnesis, Stasis, Cryonis et Remote Bombs lui permettant d’éliminer les obstacles ou les ennemis dans le style classique de Zelda. La cohérence de ces mécanismes et leurs interactions avec des systèmes tels que l’endurance, la dégradation des armes, la température et la physique engendrent la exemple, de nombreux objets sont inflammables, notamment l’herbe, le bois, la nourriture et même certains ennemis. Mettre le feu à l’herbe crée des courants ascendants que les joueurs peuvent utiliser pour aider au combat ou s’élever vers des endroits hors de portée. Ou, s’ils n’ont pas de marmite à proximité, ils peuvent allumer une surface inflammable en feu et cuire leur nourriture à la volée. De petites décisions comme celles-ci imprègnent l’expérience, et la plupart du temps, vous pouvez adopter n’importe quelle stratégie hors champ gauche dont vous rêvez – et j’adore le jeu pour sa première heure, Breath of the Wild place un puzzle important devant les joueurs, The River of the Dead, et leur demande de le résoudre. Les eaux torrentielles résident sous le mont Hylia et les joueurs doivent les traverser pour se rendre au sanctuaire qui leur confère le pouvoir Cryonis de Sheikah Slate. Puisqu’il ne faut que quelques secondes pour mourir d’hypothermie après avoir été submergé, vous devez trouver un autre moyen de traverser la rivière glacée – surtout sans posséder encore le parapente joueurs perspicaces peuvent utiliser leur nouvelle capacité Magnesis pour réassembler les pièces métalliques dispersées d’un pont cassé. Ou ils peuvent adopter l’approche moins conventionnelle en trouvant une hache coincée dans un arbre sur la berge, en abattant le conifère et en utilisant les bûches flottantes pour se diriger vers un radeau en bois dans un tourbillon à proximité. Si vous avez découvert la feuille de Korok plus tôt, vous pouvez l’utiliser pour faire naviguer le radeau vers la rive opposée, résolvant ainsi l’énigme. Zelda Breath of the Wild célèbre la curiosité à presque chaque moment, et il embrasse cette philosophie jusqu’à la fin du of the Wild ressemble à une reconstruction du format inventif popularisé par Ocarina of Time; un passage de flambeau. De la même manière que les fans considèrent 1998 comme un moment qui a façonné leur goût pour le jeu, je considère 2017 comme l’année où mes attentes en matière de jeux en monde ouvert ont changé à jamais. Breath of the Wild est un jeu qui n’a pas peur des moments calmes et qui n’hésite pas non plus à demander à ses joueurs de trouver leur chemin. Il s’agit d’une expérience libératrice qui accorde à ses utilisateurs une pleine autonomie tout au long de leur voyage à travers son monde. Par couplage Souffle de la nature engagement envers l’exploration avec des combats stimulants, une direction artistique magnifique et une bande-son mémorable, Nintendo a produit l’une des expériences de jeu vidéo les plus remarquables de ma vie. Vingt ans plus tard, je me considère maintenant comme un Zelda fan, et c’est sacrément satisfaisant de le les commentaires s’affichent toujours comme désactivés, une mise à jour du site est en cours de notre côté, ce qui a provoqué un retrait temporaire. Nous espérons qu’ils seront bientôt de nouveau opérationnels afin que notre communauté puisse recommencer à partager avec nous ses réflexions sur tout ce qui concerne les jeux ! Source Alors que je m'apprêtais à pénétré dans la cité ,une voix douce et féminine que je ne connaissais que trop bien m'interpella ...- ... Link... Link... Grâce à toi toutes les créatures divines on rejoint nos rangs ,et les âme des quatre prodiges sont a nouveau libres...tous doivent attendre avec impatience que tu affronte enfin Ganon au château d'Hyrule ...Tout comme moi....je t'attends moi aussi... Je regardais dans le vide, j'étais enfin prêt a abattre le fléau ... Je le savais ... Je me diriger vers l'entrée de la cité quand soudain je me rendis compte de la tenue dans laquelle je me trouvais, je me faufilé l'air de rien pour me cacher derrière une caisse en bois et enfilé ma tenue de demoiselle , je me diriger rapidement vers la salle du trône si vite que j'en étais totalement essoufflé ... La jeune chef semblait perdu dans ses pensées et son expression montrait bien qu'elle n'avait pas la conscience tranquille ,je m'aprochai un peut plus d'elle quand d'un coup elle leva les yeux ver moi et se redressa rapidement sur son trône - Oh ! Te revoilà !!!je suis contente que tu ailles bien ... Vraiment contente ... Naboris a retrouvé sa position initiale ,et l'énorme tempête de sable c'est calmé .Le grand fléau m'inquiète ,mais ... Au moin Naboris n'est plus une menace pour mon peuple . j'aimerais te remercier pour toute l'aide que tu nous as apporté ... Voilà pour toi dans ces coffre derrière moi ce trouve des trésors de notre peuple , Urbosa la grande s'en servait autrefois . Puisque vous étiez amis je me suis dit que sa serrais une bonne idée de t'en faire cadeau ... Je me dépêcher d'aller récupérer le contenue de chacun des deux coffres ,et je m'aperçus que les armes avec lesquelles Urbosa se battait étaient vraiment magnifique ... Je fis pour me diriger vers la sortie de la pièce quand soudain la chef des Gerudo m'interpella a nouveau ...- Link ? Tu t'en vas déjà ... J'espère que tu reviendras me voir , quand tu auras cinq minutes ... Tu es la bienvenue dans notre cité ! Me dis t'elle avec un clin d'œil . Je me contentais de lui sourire en retour ,puis descendis les marches ,mais cette fois ci ce fus la voix de la princesse qui raisonna dans ma tête ...- ... Link... Link... Je t'ai bien observer ...tu as triomphé de tout les obstacles sur ton chemin .... Ruta ... Rudania... Medoh... Naboris... Toutes les créatures divines sont désormais libéré de l'emprise de Ganon ... Tu as prouver ta valeur ... L'heure est venue de donnée un nouvel essor a ta puissance... Rend toi au sanctuaire de la renaissance et replace la tablette sheikah sur son terminal ... Je sentis comme une grande peine m'envahir je pensais pouvoir faire mordre la poussière a Ganon des demain matin ... Mais apparemment j'avez encore une épreuve a passé , alor que j'allais justement me téléporté jusqu'au sanctuaire de la renaissance je sentis quelqu'un me saisir le poignet je me retournais pour voir Organza , la très belle fille que j'avais croisé avant d'aller règlé le compte de Naboris . - Alors comme sa monsieur le héros a sauver notre cité , alors là je m'incline Link , tu es vraiment incroyable ... Et a partir de maintenant , que compte tu faire ? - J'ai encore une épreuve a passé au plateau du prélude .... Et après... Je ne sais pas vraiment... Mentis-je .- Oh et en quoi consiste cette épreuve ? - a vrai dire je n'en ai strictement aucune idée ... - eh bien tu es doué toi ! Enfin... la prochaine fois que tu passe par ici , fait moi signe ok ? - je n'y manquerai pas ! A bientôt... j'espère ! - c'est sa !Je la regardais s'éloigner avec une grâce envoûtante ,je ne tardez pas à remarqué qu'elle n'était pas habiller comme les autres Gerudo ,mais qu'elle portait un pantalon noir moulant avec de simples bottes hylienne et un haut légèrement orientale au couleurs pâles ... Elle était aussi coiffé d'une simple queue de cheval au dessus de sa tête ....Je me dépêchais de cliquer sur l'icône de téléportation sur ma tablette sheikah et de me retrouver dans le sanctuaire de la renaissance j'eus soudain une vague de mélancolie , cette endroit... c'était la ou tout avait commencé pour moi ...je repris rapidement contenance puis j'allais déposai la tablette sur son terminal .... Elle enregistra quelques données quand d'un coup dans une légère lueur bleuâtre un socle orné d'une chose indescriptible ressemblant a une arme , apparu a l'autre bout de la pièce je m'aprochai avec précaution de celle ci a chaque extrémité de ses lames se trouvait la tête de chacune des quatre créature divine... Je tendis une main hésitante ver l'objet ,puis je la saisit avec un minimum d'appréhension ....je sentis immédiatement une grande douleur dans tout mon corps quand soudain je me sentis peut a peut me vidé de mon énergie ... Au moment où je crus que j'allais m'effondré au sol la douleur s'arrêta et je tombais un jenoux a terre , j'étais au plus mal de ma forme, je m'était rarement sentis aussi mal ...- Je suis le guide spirituel Miz'Kyosia ...si ton souhait et de commandée a une créature divine ...il te faudra faire preuve d'une détermination sans faille ... quiconque manie cette arme terrasse ses ennemis d'une seule attaque ,mais succombe au premier coup reçu ...par deux fois son pouvoir serra tien avant que ses lames ne se ternissent ...il te faudra ensuite attendre qu'elle retrouve sa lumière ... Rend toi au quatres emplacement du plateau du prélude ... triomphe de tout les monstres qui te mettrons a l'épreuve ... Si la tâche te semble trop ardue abandonne ce plateau ,larme reprendra sa place , et l'épreuve prendra fin ... Une créature divine ...ma créature divine a moi ... L'idée me plaisait bien ! Mais Je réfléchis quelques instants comment pouvais-je bien passé une épreuve en tenant a peine debout ? ... Je sortis du sanctuaire ...une atmosphère étrange régnait a l'extérieur il y avait comme une aura Magic et a la foi ténébreuse comme dans le bois perdus entourent la forêt korogu ... il me suffirait probablement d'utiliser mon "pouvoir" et de faire ralentir le temps autour de moi pour que les monstres ne puissent pas me toucher ... Car j'étais peut être faible mais mon instinct de combattants était encore bien la ... Je me diriger vers le premier point brillant indiqué par la carte de la tablette sheikah , celui-ci était dans le bois des esprits ... Un premier bokoblin noir me fonça dessus je me protéger de mon bouclier et lui asséné un coup de téralame en pleine tête le monstre s'effondra immédiatement dans un cris de douleur je fus stupéfait de la puissance de cette arme jamais je n'avais vus une telle chose ... Une fois tout les monstres tué je vis un sanctuaire sortir de terre ... Je sortais du quatrième sanctuaire qui se trouvait dans les auteurs enneiger du plateau , victorieux de tout les monstres que j'avais croisé au quatres coins de celui-ci . j'avais réussi mon épreuve, et récupérer les quatres emblèmes du triomphe ...mais j'avais la sérieuse impression que cela m'avait été bien trop facile ... quand d'un coup la même voix que dans le sanctuaire se fis entendre ...- je suis le guide spirituel Miz'Kyosia... tu as surmonter chaque obstacles sans faiblir ...tu es véritablement l'espoir d'Hyrule...mais l'épreuve n'est pas terminé ...laisse la téralame te montré la voie... Je saisis l'arme derrière mon dos puis la regardais quelques secondes ...quand d'un coup les quatres tête de créatures divines a chaque extrémité de celle-ci s'illuminérent chacune d'une couleur différente ,la téralame se mis a brillé d'une lumière mystérieuse et aveuglante puis disparus en milliers de petits fragments bleuté... les quatres lumière qui ornaient ses lames s'envolèrent en tourbillonnent ver le ciel ,puis d'un coup dans un énorme éclaire lumineux pareil a un feu d'artifice ...les quatres points lumineux se retrouvèrent projeter au quatres coins d'Hyrule ....- tu as prouver ton courage et un nouveau chemin vient de s'ouvrir sous tes pas .rend toi au quatres emplacement qui te sont indiqué ,et soit prêt a atteindre de nouveaux sommets ....je jetter rapidement un coup d'œil a la tablette sheikah touts ses emplacement étaient pres de chacune des créatures divines ,et je savais déjà par quel épreuve j'avais envie de commencer ... The Legend of Zelda Breath of the WildThe Legend of ZeldaInformations externesDéveloppeursPas d'informationsStaffPas d'informationsSortiePas d'informationsGenresPas d'informationsInformations dans l'universNomPas d'informationsAliasPas d'informationsPersonnages princIpauxPas d'informations "Je m'appelle Rhoam Bosphoramus Hyrule. Il y avait autrefois un royaume du nom d'Hyrule. Je fus son dernier roi." — Le Roi Rhoam "Depuis les temps les plus reculés, l'histoire de la famille royale d'Hyrule est intimement liée à celle du Fléau, ce monstre que l'on nomme Ganon." — Impa "J'étais avec toi... Depuis le début, à chacun de tes pas. J'ai vu tes efforts, tes succès... tes combats. C'est pourquoi je savais... J'en étais certaine. Je savais que tu affronterais Ganon, et que tu en sortirais vainqueur. Link, héros d'Hyrule, sois mille fois que tu... Est-ce que tu te souviens de moi ?" — Zelda The Legend of Zelda Breath of the Wild est un jeu d'action-aventure de 2017 développé et publié par Nintendo pour les consoles Nintendo Switch et Wii U. Breath of the Wild est le dix-neuvième volet de la franchise The Legend of Zelda et se déroule à la fin de la ligne temporelle de Zelda. Le joueur contrôle Link, qui se réveille d'un sommeil de cent ans pour vaincre le Fléau Ganon et restaurer le royaume d'Hyrule. Comme dans le jeu original The Legend of Zelda de 1986, les joueurs reçoivent peu d'instructions et peuvent explorer le monde librement. Les tâches consistent à collecter divers objets et équipements pour atteindre des objectifs tels que la résolution d'énigmes ou des quêtes secondaires. Le monde est déstructuré et conçu pour encourager l'exploration et l'expérimentation, et la quête principale de l'histoire peut être complétée de façon non linéaire. Le développement de Breath of the Wild s'est étalé sur cinq ans, suite aux réponses de certains fans qui souhaitaient un monde de jeu plus vaste à explorer. Souhaitant repenser les conventions de la série, Nintendo a introduit des éléments tels qu'un monde ouvert et un moteur physique détaillé. Monolith Soft, connu pour son travail sur la série Xenoblade Chronicles à monde ouvert, a aidé à concevoir les paysages et la topographie. Le jeu était initialement prévu pour une sortie en 2015 en tant qu'exclusivité Wii U, mais a été retardé à deux reprises. Sorti le 3 mars 2017, Breath of the Wild était un jeu de lancement pour la Nintendo Switch et le dernier jeu édité par Nintendo pour la Wii U. Deux vagues de contenu téléchargeable ont été publiées tout au long de 2017 dans un pass d'extension. Breath of the Wild a été acclamé par la critique pour son gameplay ouvert et son attention aux détails. Les critiques l'ont qualifié de point de repère dans la conception de jeux en monde ouvert, bien qu'il ait reçu des critiques mineures pour ses performances techniques au lancement. Il a remporté plusieurs prix du jeu de l'année et a depuis été cité comme l'un des plus grands jeux vidéo de tous les temps. En 2021, il s'est vendu à plus de 27 millions d'exemplaires, ce qui en fait l'un des jeux vidéo les plus vendus de tous les temps. Un spin-off, Hyrule Warriors L'Ère du Fléau, est sorti en 2020. Une suite est prévue pour une sortie sur la Switch en 2022. Conception[modifier modifier le wikicode] Le producteur du jeu, Eiji Aonuma Nintendo EPD, une division interne de Nintendo, a développé Breath of the Wild pour la Nintendo Switch et la Wii U. Selon le producteur de la série, Eiji Aonuma, l'équipe de développement visait à "repenser les conventions de Zelda". Le développement a commencé immédiatement après la sortie de The Legend of Zelda Skyward Sword 2011. Aonuma a reçu des commentaires de joueurs qui souhaitaient voir une carte plus interconnectée pour explorer les lieux entre les zones de jeu. En 2013, Nintendo a expérimenté un gameplay non linéaire dans The Legend of Zelda A Link Between Worlds, qui a fait l'objet d'éloges dans de nombreux médias. À l'E3 2014, Aonuma a déclaré qu'il prévoyait de réformer les donjons et les énigmes, deux des principaux éléments de gameplay de la série, et de remanier le jeu pour permettre aux joueurs d'atteindre la fin sans progresser dans l'histoire. Comme Nintendo n'avait jamais développé un jeu moderne à monde ouvert de l'ampleur de Breath of the Wild, ils se sont penchés sur des titres antérieurs pour en savoir plus sur les défis que représente la réalisation d'un jeu moderne à monde ouvert à grande échelle, notamment The Elder Scrolls V Skyrim et Shadow of the Colossus, qui présentaient certaines mécaniques d'escalade similaires et dont le créateur Fumito Ueda était ami avec Aonuma. Pour le style artistique, l'équipe de développement s'est inspirée de divers anime japonais qu'elle avait regardés en grandissant, notamment les productions du Studio Ghibli et de Hayao Miyazaki. Le protagoniste de la série, Link, a été redessiné pour le jeu, Aonuma l'ayant délibérément rendu plus neutre sur le plan du genre afin que les joueurs puissent s'identifier plus facilement à lui. Avant le développement complet, les développeurs ont conçu un prototype jouable en 2D similaire au Zelda original afin d'expérimenter des puzzles basés sur la physique. Le jeu final utilise une version modifiée du moteur physique Havok. Lors de la Game Developers Conference 2017, le réalisateur Hidemaro Fujibayashi, le directeur technique Takuhiro Dohta et le directeur artistique Satoru Takizawa ont tenu une présentation intitulée "Change and Constant - Breaking Conventions with The Legend of Zelda Breath of the Wild", au cours de laquelle ils ont fait une démonstration du prototype. M. Aonuma a qualifié le moteur physique de Breath of the Wild de développement majeur pour la série Zelda, affirmant qu'il "sous-tend tout dans le monde" et fait fonctionner les choses de "manière logique et réaliste", permettant aux joueurs d'aborder les énigmes et les problèmes de différentes manières. Il s'est étendu sur la difficulté de développer ce système, rappelant qu'un jour, pendant le développement, il est entré dans une zone du jeu et a constaté que tous les objets avaient été emportés par le vent. Comme les précédents jeux Zelda augmentaient le nombre d'actions que Link pouvait effectuer, l'équipe de développement s'est rendu compte que le fait d'avoir trop d'actions compliquerait les contrôles. Le jeu a été conçu et présenté avec des fonctions d'écran tactile pour la Wii U, mais les développeurs ont trouvé que "le fait de regarder dans les deux sens entre le Gamepad et l'écran" détournait l'attention du jeu. Ces fonctionnalités ont été supprimées lorsque le jeu a été développé en tandem sur la Switch et la Wii U. Le Wii U GamePad a également affecté l'animation ; bien que Link soit canoniquement gaucher, il est droitier dans le jeu pour correspondre au schéma de contrôle du GamePad, qui a ses boutons d'épée sur son côté droit. La version Switch est plus performante que la version Wii U lorsqu'elle est fixée à un téléviseur, mais lorsqu'elle n'est pas fixée, les deux versions ont la même résolution. La version Switch dispose également de sons environnementaux de meilleure qualité[50][51] Aonuma a déclaré que la conception artistique était inspirée de la gouache et de l'art en plein air pour aider à identifier le vaste monde. Takizawa a également cité la période Jōmon comme source d'inspiration pour la technologie et l'architecture des anciens Sheikahs que l'on retrouve dans le jeu, en raison du mystère entourant cette période. Le paysage du jeu est basé sur des lieux situés à Kyoto et dans ses environs, la ville natale du directeur du jeu, Hidemaro Fujibayashi, et a été partiellement conçu par Monolith Soft, qui a participé à la conception des niveaux topographiques. La zone initiale du jeu a été transformée en plateau afin que les joueurs puissent voir les vastes environnements du monde. Breath of the Wild a été le premier jeu Zelda principal à utiliser le doublage vocal dans les cutscenes, bien que Link reste un protagoniste silencieux. Aonuma a été affecté par la première fois qu'il a entendu un personnage avec une voix humaine dans le jeu, et il voulait laisser une impression similaire aux joueurs. L'équipe a décidé d'enregistrer des voix hors champ pour toutes les cutscenes et non pas seulement pour les scènes clés, comme prévu initialement. Nintendo a fourni des voix off et des sous-titres en huit langues. Au départ, les joueurs ne pouvaient pas mélanger les langues des voix et des sous-titres[61] ; cependant, Nintendo a publié une mise à jour en mai 2017 qui permettait aux joueurs de choisir la langue des voix off. Après cinq ans de développement, le jeu est devenu or le 3 février 2017, Nintendo organisant une wrap party pour célébrer l'événement. Coïncidant avec le lancement du jeu à Taïwan et en Corée du Sud début 2018, Nintendo a introduit un patch dans le monde entier ajoutant des traductions en chinois traditionnel et simplifié et en coréen pour la version Nintendo Switch. La partition originale a été composée par Manaka Kataoka, Yasuaki Iwata et Hajime Wakai. Kataoka et Wakai avaient précédemment travaillé respectivement sur les jeux Zelda Spirit Tracks et The Wind Waker. La bande-son a été principalement écrite et interprétée au piano, avec un accent sur la musique et les sons ambiants plutôt que sur la musique mélodique et entraînante des jeux Zelda précédents. Selon Wakai, cela a permis d'ajouter de l'"authenticité" aux environnements et a été considéré comme un défi par le reste de l'équipe sonore. [1] Intrigue[modifier modifier le wikicode] Breath of the Wild se déroule à la fin de la chronologie Zelda, dans le royaume d'Hyrule. Dix-mille ans avant le début du jeu, l'ancienne race des Sheikah avait fait d'Hyrule une civilisation avancée, protégée par quatre énormes machines animales appelées Bêtes Divines et une armée d'armes autonomes appelées Gardiens. Lorsque le maléfique Fléau Ganon est apparu et a menacé Hyrule, quatre grands guerriers ont reçu le titre de Prodige, et chacun a piloté une des Bêtes Divines pour affaiblir Ganon tandis que la princesse au sang de déesse et son chevalier attitré ont combattu et l'ont vaincu en le scellant. Dix-mille ans plus tard, le royaume d'Hyrule a depuis régressé à un état médiéval. En lisant les prophéties de leurs ancêtres, les Hyliens ont reconnu les signes du retour de Ganon et ont fouillé les zones environnantes pour découvrir les Bêtes divines et les Gardiens. Pendant ce temps, la princesse Zelda s'entraînait vigoureusement pour réveiller la magie de scellement nécessaire pour vaincre Ganon tout en essayant de maintenir ses recherches personnelles. Pendant ce temps, un chevalier a été désigné pour la protéger, à savoir Link, qui a été choisi en raison de sa capacité à manier l'épée maîtresse, également connue sous le nom d'épée qui scelle les ténèbres. Les Prodiges des races d'Hyrule - Daruk, guerrier du Goron montagneux, Mipha, princesse du Zora aquatique, Revali, archer de l'oiseau Piaf, et Urbosa, chef des Gerudo du désert - se sont rassemblés pour piloter les bêtes divines Vah Rudania, Vah Ruta, Vah Medoh et Vah Naboris, respectivement pendant que Zelda et Link combattaient Ganon. Cependant, Ganon possédait les Gardiens et les Bêtes Divines, les retournant contre Hyrule. Le roi Rhoam et les Prodiges furent tués, la ville du château fut détruite et Link fut gravement blessé alors qu'il défendait la seule base restante de l'armée d'Hyrule, Fort Hateno. Zelda a emmené Link en lieu sûr pour qu'il guérisse, a caché l'épée maîtresse dans les Bois perdus sous la protection du Grand Arbre Mojo et a utilisé sa magie pour se sceller avec Ganon dans le Château d'Hyrule. Cette tragédie cataclysmique fut connue à travers les âges comme la Grande Calamité. Cent ans après avoir été placé dans une chambre de guérison dans le sanctuaire de la résurrection, un Link amnésique se réveille dans un Hyrule maintenant ravagé. Il rencontre un vieil homme, qui se révèle être l'esprit persistant du roi Rhoam. Rhoam explique que Ganon, enfermé dans le Château d'Hyrule, est devenu fort ; il supplie Link de vaincre Ganon avant qu'il ne se libère et détruise le monde. Link voyage à travers Hyrule, retournant à des endroits de son passé et retrouvant ses souvenirs. Avec l'aide des races d'Hyrule, il monte à bord des quatre Bêtes Divines et les purge des monstres de Ganon, libérant les esprits des anciens Prodiges d'Hyrule et leur permettant de piloter à nouveau les Bêtes Divines. Après avoir obtenu l'épée maîtresse dans les Bois perdus, Link entre dans le Château d'Hyrule et vainc Ganon avec l'aide des bêtes divines et de l'arc de lumière de Zelda. Zelda scelle Ganon, rétablit la paix et permet aux esprits du roi Rhoam et des Prodiges de se rendre dans l'au-delà. Sentant leur présence, Link et Zelda sourient affectueusement. Si les joueurs ont trouvé les treize souvenirs dans la quête "Mémoires capturées", ils débloquent une fin secrète dans laquelle Zelda réalise qu'Hyrule doit être reconstruite et qu'elle et Link doivent commencer le processus eux-mêmes. Alors que Link et Zelda arpentent Hyrule et se lancent dans la reconstruction de leur monde, la princesse confie qu'elle ne possède peut-être plus aucun pouvoir surnaturel, mais qu'elle a tout de même réussi à s'en accommoder. [2] Personnages[modifier modifier le wikicode] Link Les événements de Breath of the Wild commencent avec Link, un chevalier d'Hyrule, qui se réveille d'un profond sommeil dans le sanctuaire de la résurrection. Une voix mystérieuse le guide pour qu'il prenne la Tablette Sheikah et s'embarque pour le monde extérieur, lui disant qu'il doit "briller une fois de plus sur Hyrule". Il sort ensuite du sanctuaire et est libre d'explorer Hyrule. Link est frappé d'amnésie, car il est incapable de se souvenir de qui que ce soit ou de quoi que ce soit avant son repos dans le sanctuaire de la résurrection. Princesse Zelda Zelda n'est pas seulement la princesse d'Hyrule, elle est aussi une érudite en herbe très curieuse. Elle est également la chef des Prodiges d'Hyrule. Zelda est la voix mystérieuse qui guide Link tout au long de son voyage tandis qu'elle contient le Fléau Ganon à l'intérieur du Château d' le réveil de Link, elle le guide par télépathie tout au long de son voyage. Malheureusement, elle n'a pas pu retenir le Fléau Ganon bien longtemps avant qu'il ne développe un corps rudimentaire. Après que Link ait réussi à mettre hors d'état de nuire la forme la plus puissante du Fléau Ganon, Ganon, créature maléfique, elle a été libérée et a procédé à la destruction de l'essence du Fléau Ganon. Elle retrouva ensuite Link pour la première fois en cent ans, et lui demanda s'il se souvenait encore d'elle car Link était initialement resté amnésique après avoir frôlé la mort. Quelque temps plus tard, elle et Link sont partis pour le lac Hylia afin d'enquêter sur la cause de l'arrêt de la bête divine Vah Ruta, et sur la nécessité de restaurer Hyrule dans sa gloire passée. Fléau Ganon Le Fléau Ganon est connu comme un mal primitif qui est apparu tout au long de l'histoire d'Hyrule. Dix mille ans avant les événements de Breath of the Wild, il est apparu pour ravager le monde, lors d'un événement connu sous le nom de Grande Calamité. En prévision de cet événement, les Sheikahss a construit une armée massive d'armes mécaniques appelées Gardiens pour aider le héros et la princesse sans nom. Quatre forteresses mobiles massives connues sous le nom de Bêtes Divines ont servi de pièces maîtresses à cette armée. Grâce à cette collaboration entre les Sheikahss et les Hyliens, Ganon a été scellé sous le Château d'Hyrule où il est resté en sommeil pendant plusieurs son retour, dans un geste non anticipé par la famille royale d'Hyrule, le Fléau Ganon a réussi à corrompre toute l'armée des Gardiens avec sa malice et les a retournés contre les Hyruliens. Même les Bêtes Divines, dont les pilotes ont été tués, sont tombées sous le contrôle d'incarnations de la malice de Ganon, connues sous le nom d'Ombres de Ganon. Avec ses armes les plus puissantes retournées contre elle, Hyrule fut réduite à néant et Link gravement blessé, ce qui l'obligea à dormir dans le Sanctuaire de la Résurrection pendant cent ans. Zelda alla affronter Ganon par elle-même et parvint à le sceller une fois de plus, bien qu'elle dût pour cela devenir sa prisonnière afin de maintenir le seau. Maître Kohga Maître Kohga est le chef du clan Yiga, un clan opposé aux Sheikah qui traque Link dans une mission incessante. Maître Kohga est une figure d'autorité respectée, mais il passe la plupart de son temps à faire la sieste et à flâner. Les bananes puissantes sont ce que Maître Kohga aime le plus. Maître Kohga est connu pour posséder de nombreux secrets sur les Sheikahss. Rhoam Bosphomarus Hyrule Le roi Rhoam était autrefois le roi d'Hyrule, un siècle avant le réveil de Link dans le sanctuaire de la résurrection. Après la résurrection de Link, le roi Rhoam prend l'apparence d'un vieil homme vivant seul au sommet du Plateau du Prélude. Lorsque Link rencontre le vieil homme pour la première fois, on le voit camper dans une alcôve juste à l'est de l'entrée du sanctuaire de la résurrection. Le Vieil Homme suit Link tout au long de son voyage à travers le Plateau du Prélude, détournant souvent les questions de Link sur ce qu'il fait. Il montre à plusieurs reprises qu'il connaît les capacités de l'Ardoise Sheikah ainsi que la culture et la technologie Sheikah. Il demande à Link de lui apporter les orbes spirituelles des anciens sanctuaires en échange de son parapente, le moyen de s'échapper du Plateau du Prélude. Mipha Mipha est la princesse des Zora, une amie de Link et l'une des Prodiges. Elle est décrite comme introvertie et a un don de guérison. Mipha était amoureuse de Link et lui a fabriqué une armure Zora avant sa mort lors de la Grande Calamité. Link recevra plus tard l'armure du père de Mipha, le roi était une excellente lanceuse et possédait une arme connue sous le nom de Trident de l'écaille de lumière. Une réplique de ce trident, appelée trident de cérémonie, est utilisée lors du festival du Prodige Zora. Muzu était le professeur de Mipha et s'occupait beaucoup d'elle. Urbosa Urbosa est une Prodige Gerudo qui pilote la bête divine Vah Naboris. Elle est capable de manipuler la foudre grâce à sa technique, la Fureur d'Urbosa. Urbosa se bat avec le Cimeterre des Sept et le bouclier Daybreaker. On dit que les mouvements d'Urbosa ressemblent à une belle danse lorsqu'elle utilise le Cimeterre des Sept. Urbosa prend soin de la princesse Zelda comme une sœur au cœur solide. Selon l'enfant Gerudo, Pearle, Urbosa a sauvé la ville Gerudo d'un fantôme maléfique. Revali Cent ans avant les événements de Breath of the Wild, Revali était le Prodige de la tribu Piaf. Il était connu comme le plus habile archer de tous les Piaf et pouvait tirer des flèches à la vitesse d'un coup de vent. Revali avait la capacité de créer un impressionnant courant ascendant qui lui permettait de s'élever dans les airs, et qui fut plus tard baptisé la Rage de Revali en son honneur. Son arme était l'arc du grand aigle. Daruk Daruk était le guerrier Prodige Goron, l'un des membres désignés pour piloter les Bêtes Divines dans la guerre contre le Fléau Ganon il y a cent ans. Il était le pilote de la Bête Divine Vah Rudania. Il était décrit comme étant généralement calme, mais devenait très excité au combat. Il possédait la capacité connue sous le nom de Bouclier de Daruk, une barrière polyédrique de cristal rouge qui peut dévier toute attaque ou tout dommage entrant pour l'utilisateur. Réception[modifier modifier le wikicode] Breath of the Wild est sorti sous les acclamations de la critique, beaucoup qualifiant le jeu de chef-d'œuvre et d'un des plus grands jeux vidéo de tous les temps. Sur l'agrégateur de critiques Metacritic, Breath of the Wild a été le jeu le mieux noté de 2017 et détient le plus grand nombre de critiques parfaites de tous les jeux de toutes les années. Des publications de l'industrie, notamment IGN, GameSpot, Polygon,[130] Entertainment Weekly, Eurogamer, Electronic Gaming Monthly, GamesRadar+ et Game Informer, ont classé Breath of the Wild comme le meilleur jeu de 2017. Selon Metacritic, Breath of the Wild est arrivé en tête de 18 listes des meilleurs jeux de la décennie, plus que tout autre jeu des années 2010. Le gameplay en monde ouvert a reçu des éloges. Jose Otero d'IGN l'a décrit comme " un cours magistral de conception de monde ouvert " et " un merveilleux bac à sable plein de mystères, laissant miroiter devant vous des dizaines et des dizaines de choses alléchantes qui ne demandent qu'à être explorées " GameSpot l'a qualifié de jeu le plus impressionnant que Nintendo ait fait, écrivant qu'il " prend des conceptions et des mécanismes perfectionnés dans d'autres jeux et les retravaille à ses propres fins pour créer quelque chose de totalement nouveau, mais aussi quelque chose qui ressemble toujours à un jeu Zelda... Edge a écrit que l'univers du jeu était "un plaisir absolu et ininterrompu de s'y perdre" et que "la magie de se voir donner tous les outils dans la première heure est de savoir que la solution à n'importe quel problème est déjà à votre disposition, et que vous pouvez toujours changer d'avis". [Selon Digital Trends, la possibilité de grimper sur n'importe quelle surface et de glisser sur la carte a donné aux joueurs une liberté de mouvement qui a "ouvert le genre, poussant les développeurs à repenser la façon dont les joueurs interagissent avec le monde" et à "mettre une réflexion supplémentaire dans la conception verticale." Contrairement aux jeux "à la Ubisoft" qui remplissaient la carte du jeu de points d'intérêt et d'objectifs, l'exploration libre de Breath of the Wild encourage les joueurs à fixer leurs propres objectifs, marquant la carte de découvertes qui servent de "trace de ce que les joueurs ont accompli." Selon Kyle Orland d'Ars Technica, "après avoir passé une semaine complètement immergé dans la réimagination en monde ouvert de la formule éprouvée de Zelda par Nintendo, il est difficile de revenir aux entrées plus formelles du passé de la franchise"[138] Les journalistes ont commenté les interactions inattendues entre les éléments du jeu, les moments heureux étant populaires sur les médias sociaux[139]. Chris Plante de The Verge a prédit qu'alors que les jeux à monde ouvert précédents avaient tendance à présenter des défis prescrits, Zelda influencerait une nouvelle génération de jeux en proposant des solutions ouvertes[142]. Digital Trends a écrit que le niveau d'expérimentation du jeu permettait aux joueurs d'interagir avec l'environnement et de l'exploiter de manière créative, ce qui a donné lieu à diverses "astuces" encore découvertes des années après la sortie. Les critiques ont salué le sens du détail et de l'immersion. Kotaku a recommandé de désactiver les éléments de l'interface utilisateur pour faire l'éloge des indices indirects qui indiquent contextuellement les mêmes informations, comme Link qui frissonne dans le froid ou les points de repère qui apparaissent lorsqu'on utilise la lunette. Les critiques ont également commenté les permutations inattendues des interactions entre Link, les villageois, les animaux domestiques et les ennemis, dont beaucoup ont été largement partagées sur les médias sociaux. Un hommage à l'ancien président de Nintendo, Satoru Iwata, décédé pendant le développement, a également attiré des éloges. Jim Sterling a été plus critique que la plupart, donnant à Breath of the Wild une note de 7/10. Ils ont critiqué la difficulté, la durabilité des armes et la conception des niveaux, mais ont loué le monde ouvert et la variété du contenu. D'autres critiques portaient sur l'instabilité de la fréquence d'images et la faible résolution de 900p ; des mises à jour ont corrigé certains de ces problèmes. Dans un sondage réalisé en 2021 par TV Asahi, auprès de plus de 50 000 utilisateurs japonais, Breath of the Wild a été élu meilleur jeu pour console de tous les temps, devant Dragon Quest V en deuxième position. En 2021, IGN a classé Breath of the Wild à la première place dans sa liste des 100 meilleurs jeux de tous les temps. [3] Galerie[modifier modifier le wikicode] Références[modifier modifier le wikicode] ↑ ↑ ↑ Franchises vidéoludiquesThe Legend of Zelda - Hyrule WarriorsJeuxThe Legend of Zelda - The Legend of Zelda Adventure of Link - The Legend of Zelda A Link to the Past - The Legend of Zelda Link's Awakening - The Legend of Zelda Ocarina of Time - The Legend of Zelda Majora's Mask - The Legend of Zelda Breath of the Wild - The Legend of Zelda Breath of the Wild 2PersonnagesAnju - Arbre Mojo - Arielle - Bourgeon de l'Arbre Mojo - Daphnès Nohansen Hyrule - Darmani III - Daruk - Darunia - Divinités Les 4 Géants, Esprits de la Lumière - Épona - Exelo - Fées - Faras - Fay - Fils du Majordome Mojo - Gerudo - Goron - Grande Fée - Guide Fantomatique - Gwonam - Héros de la lumière - Hilda - Impa - Kaepora Gaebora - Kafei - Kokiris - Koume et Kotake - Lana - Lavio - Link Link Mojo, Oni Link, Oni Link Manga, Les 4 Links, Link Goron, Link CD- i, Link Manga, Link Cartoon, Link Loup, Link Enfant, Link Zora - Linkle - Louise - Machaon - Marine - Midona - Mikau - Mila - Mipha - Morshu - Nabooru - Noïa - Pamela - Parents de Link - Père de Pamela - Princesse Ruto - Princesse Zelda Zelda Cartoon, Sheik, Tetra, Zelda CD- i - Pru'Ha - Ralph - Revali - Riju - Roi Harkinian - Saria - Sept Sages - Sidon - Soldat Blessé - Teba - Tingle - Urbosa - Yunobo - Zora - Zubora et GaboraObjetsÉpée de Légende - Triforce Le Héros de la Légende ». C’est comme cela que m’a appelé ce vieil homme que j’ai rencontré sur le Plateau du Prélude avant de me confier la lourde tâche de libérer le monde d’Hyrule du mal qui le rongeait. Je ne me souvenais pas de grand-chose à l’époque. Je venais de me réveiller d’un long sommeil de cent années dans ce qu’on appelait le Sanctuaire de la Renaissance, et j’avais totalement oublié les évènements que j’avais vécus, ou les gens que j’avais connus avant de reprendre conscience. Nombre de mes ancêtres avaient déjà été confrontés à la menace de ce fléau appelé Ganon. Mais l’aventure que j’ai traversée, maintenant que j’y réfléchis, me semble bien différente de ce qu’ils ont pu connaître, même si certaines similitudes subsistent. Il m’aura fallu du temps pour recouvrer tous mes souvenirs et faire le tri dans les innombrables choses que j’ai pu voir, bonnes ou mauvaises, au cours de cet ambitieux voyage. Je l’ai entrepris avec, je l’avoue, énormément d’enthousiasme, en dépit des multiples dangers qui m’attendaient. Et aujourd’hui, il me semble nécessaire de garder une trace de toute cette histoire ; une histoire que chacun aurait pu vivre différemment, dont je ressors moi-même animé du même enthousiasme que celui du début, mais aussi d’une pointe d’amertume, les choses ne s’étant pas toujours passées de la meilleure des façons. Le réveil d'un hérosJe me souviens donc d’avoir ouvert les yeux, bercé par la douce voix d’une jeune fille qui m’apaisa instantanément, me soulageant un peu de la peur qui commençait à s’emparer de moi, alors que je n’avais aucune idée de qui j’étais, ou de ce que je faisais dans ce qui n’était alors pour moi qu’un temple sombre et mystérieux. Je ne savais pas non plus à qui appartenait cette voix, mais je sentais au plus profond de moi-même que je devais l’écouter. Après avoir revêtu chemise et pantalon, je découvrais alors un objet qui allait constituer l’une des éléments principaux de toute mon aventure la tablette Sheikah. Outre le fait d’être la seule et unique clef me donnant accès aux sanctuaires ou à ces Créatures Divines que j’allais devoir reprendre à Ganon, cette fameuse tablette allait surtout se révéler indispensable grâce à la carte de tout le Royaume qu’elle contenait. En contrepartie, il me faudrait remplir cette carte, originellement vierge de toute information détaillée, en escaladant les hautes tours situées dans chacune des quinze grandes zones d’ le temps était venu pour moi de quitter le sanctuaire de la Renaissance afin de découvrir le monde qui m’entourait. Et je réalisais en posant mes yeux encore somnolents sur ce vaste paysage verdoyant qu’explorer ce monde, dont je croyais alors tout ignorer, serait un travail de très longue haleine. Il me semblait pourtant avoir déjà eu l’occasion de visiter des univers de grande ampleur. Mais celui qui se montrait à moi me semblait, à première vue d’une richesse incomparable. Toutefois, avant de pouvoir le vérifier, il allait d’abord me falloir trouver le moyen de quitter le Plateau du Prélude où je m’étais donc réveillé, la zone étant très en hauteur par rapport aux autres. Je ne pouvais me risquer à descendre une telle distance en m’agrippant à la paroi sans risquer de lâcher prise, me sentant alors trop peu endurant ; et sauter de si haut n’était évidemment pas une aucune véritable indication sur le chemin à suivre, j’aurais pu rapidement me sentir un peu perdu si mes yeux n’avaient pas fini par remarquer ce vieil homme au loin, qui semblait m’observer. Si je m’étais souvenu de sa véritable identité, je ne me serais guère étonné des nombreuses connaissances qu’il semblait avoir des environs, ou même des quelques secrets dont il m’a fait profiter. Rapidement, il m’a demandé d’explorer ce qu’il appelait les quatre sanctuaires du Plateau du Prélude. Ces derniers allaient me permettre de récupérer quatre pouvoirs qui allaient m’être plus ou moins utiles durant toute mon épopée. Une tablette Sheikah aux pouvoirs étrangesEn premier lieu, je récupérais le pouvoir des bombes. De deux types, il y avait d’abord les rondes qui, de par leur faculté de rouler, me permettaient de combattre plus facilement les ennemis éloignés, et qui étaient parfaitement adaptées à certains types de mécanismes. Puis il y avait celles de forme carrée, plus faciles à poser sur des sols en pente, idéales pour faire exploser rochers ou gisements de minerais difficiles d’accès. Ensuite, je récupérais le Polaris me permettant de manier toutes sortes d’objets en métal par l’intermédiaire d’un aimant. Un pouvoir bien pratique pour résoudre toutes sortes d’énigmes, ou récupérer les coffres métalliques ensevelis ou perdus au plus profond des eaux. Bien que parfois utile, j’admets ne pas avoir beaucoup utilisé le Cinétis, octroyant l’étrange possibilité de figer certains objets dans le temps. Frapper une grosse boule de pierre isolée du temps me permettait ainsi de la projeter au loin comme si j’étais doué d’une force surhumaine, et en imprégner un faisceau laser avait pour effet de le désactiver temporairement. Enfin, je dus attendre d’être en mesure de m’habiller plus chaudement pour atteindre le sanctuaire renfermant le quatrième pouvoir, en raison des grands froids qui régnaient dans le secteur. Appelée Cryonis, cette fonction créait des blocs de glaces sur l’eau, servant le plus souvent de plateformes, mais étant aussi capables de soulever des portails fermés dans des régions humides ou de rendre accessibles des coffres de bois flottant à la surface des flots. Cette faculté compensa par ailleurs certaines de mes carences en natation, notamment mes faibles capacités à nager sous l’eau. A noter que chacun de ces pouvoirs nécessitaient un certain temps de recharge, avant que je puisse les utiliser à nouveau. Plus tard, j’ai même rencontré une scientifique quelque peu excentrique nommée Pru’ha, qui me permit d’augmenter les performances de certaines de ces aptitudes, et me donna même la possibilité de prendre ce que les Sheikas appellent des photos. Grâce à cette étonnante fonction, je pouvais capturer des images de tout ce que je voulais, afin, par exemple, de compléter l’encyclopédie intégrée dans la tablette, ou plus simplement de montrer à des personnes qui ne pouvaient pas se déplacer des choses qu’ils rêvaient un jour de voir. Mais la plus grande étrangeté que renfermait cette tablette était sans doute le fait de pouvoir y scanner de non moins bizarres statuettes appelées Amiibos, faisant alors tomber du ciel divers objets, mais surtout un coffre de métal susceptible de renfermer un valeureux trésor ancestral. Certains disaient qu’une de ces statuettes aurait pu me donner la chance retrouver ma fidèle jument Epona, disparue après l’apparition du fléau Ganon. Mais cette opportunité me fut hélas enlevée par la popularité grandissante de cette effigie, la rendant aujourd’hui plus rare et plus coûteuse que la découverte d’un bouclier Hylien. Hyrule, un monde fascinantAprès avoir accompli toutes les tâches que m’avait demandées mon guide d’infortune, je pus enfin apprendre une partie de la vérité. Le vieil homme, qui était en réalité le spectre du Roi d’Hyrule, me révéla que la Princesse Zelda, nos anciens amis et moi-même, avions échoué dans notre tentative d’arrêter Ganon. Mais mon long sommeil qui avait préservé ma vie me donnait une seconde chance de réussir. Le roi défunt me remit sa paravoile en guise de cadeau d’adieu, voile qui, une fois déployée, me permettait de planer dans les airs jusqu’à ce que mon endurance s’épuise. C’est donc grâce à elle que je pus m’échapper du Plateau du Prélude, me dirigeant vers l’inconnu d’un monde où je ne tarderais pas à m’égarer, et dont j’allais découvrir la générosité sans pareille, mais aussi ses règles parfois impitoyables et ses plus noirs fus rapidement émerveillé, en posant pied à terre, par le paysage et l’ambiance paisible qui s’offrait à moi. Au loin, quelques chevaux se promenaient, s’arrêtant parfois pour se sustenter de quelques touffes de l’herbe verdoyante visible à perte de vue. Mais alors que je courais vers eux dans l’espoir de mieux les contempler, un détail attira mon attention. Je commençais à avoir l’impression que mes yeux n’étaient pas encore bien acclimatés à l’univers qui m’entourait. La végétation, comme les arbres et les buissons, revêtait un aspect artificiel et parfois même polygonal altérant quelque peu leur beauté. Plus étrange, je sentais souvent mon champ de vision comme obstrué. Il m’arrivait souvent de voir des fleurs apparaître sur le sol comme par magie au fur et à mesure que j’avançais, et nombre de choses m’étaient invisibles avant que j’en sois suffisamment proche. Une désagréable sensation dont je me suis vite accommodé, mais que j’ai l’impression de toujours ressentir, même aujourd’ tout cela n’était rien en comparaison de la majesté de ce monde. En dépit de la lourde responsabilité qui reposait sur mes épaules, j’admets avoir été totalement émerveillé par les nombreux panoramas dont cette aventure m’a permis de profiter. Des hautes montagnes enneigées de la chaîne d’Hébra, aux chaleureuses coulées de lave jaillissant du volcan d’Ordinn, en passant par les arides étendues de sables du désert Gerudo, les différentes régions d’Hyrule m’impressionnent encore toutes de par leur personnalité marquée et leur variété. Au bout d’un moment, j’étais presque capable de me passer de carte pour me repérer dans certaines d’entre elles, ce qui n’est pas censé être évident dans un monde d’une telle taille. En tout cas, plus j’avançais, plus ce que je voyais me confortais dans le fait que ce royaume méritait d’être sauvé. Et ma rencontre avec les habitants du village de Cocorico, me rassurant sur la présence de vie sur ces terres, allait me le confirmer. Mais l’heure était venue d’aller faire la connaissance d’Impa, la femme qui allait m’indiquer la marche à suivre pour affronter retrouver soi-même pour vaincre le malLa sage du village de Cocorico allait donc me révéler qu’il me fallait, d’une part, retrouver tous mes souvenirs de ce qui s’était passé il y a cent ans. D’autre part, que je devais reprendre le contrôle des quatre Créatures Divines corrompues par Ganon. Chacune était à l’origine contrôlée par les quatre grands prodiges d’Hyrule, chacun issus de peuples différents. Il me fallait donc entrer dans chaque Créature, afin d’en libérer les esprits de mes quatre anciens compagnons. La visite de ces créatures m’a fait beaucoup penser à ces fameux donjons que les anciens héros avaient pu visiter par le passé. Je devais en comprendre tous les mécanismes pour parvenir à avancer et en résoudre les énigmes qu’elles renfermaient. Je pouvais même, après en avoir récupéré la carte, changer la disposition des lieux, notamment pour accéder à de nouvelles salles. En revanche, contrairement à ces fameux donjons du passé qui semblaient regorger d’adversaires, les Créatures Divines n’étaient guère protégées. Tout juste y avait-il quelques gardiens miniatures éliminables avec une ou deux flèches de bois, ou de la matière pourpre, cette substance maudite sécrétée par Ganon, générant parfois des immondices pouvant libérer des têtes de squelettes, ou des globes oculaires protégeant des surplus de matière pourpre qui disparaissaient à leur trépas. En vérité, la seule vraie menace sérieuse de ces donjons » était les Ombres de Ganon, de terrifiantes créatures souvent plus fortes que la plupart des créatures résidant à Hyrule, qu’il me fallut vaincre pour libérer chaque Créatures Divines. Cela dit, si l’une d’entre elle sut se montrer particulièrement coriace, aucune d’entre elles ne m’a laissé un souvenir impérissable, les stratégies de combat à adopter étant plutôt basiques. En y repensant, je ne garde toutefois pas un souvenir si désagréable de la visite de ces grands temples amovibles, ne serait-ce que pour l’inventivité de leurs mécanismes. Mais le peu de temps que j’y ai passé et les nombreuses similitudes visuelles de leurs intérieurs me les font déjà un peu idée était donc de me faire repartir sur les traces de mon passé, à la recherche de lieux clefs pouvant m’aider à me remémorer les évènements que j’avais oubliés. C’est pour cette raison que je me suis rendu dans un autre village du côté des Monts Géminés baptisé Elimith, dans le but de rencontrer la fameuse Pru’ha, qui pouvait télécharger sur ma tablette des photos destinées à m’aider à trouver les dits lieux, par l’intermédiaire d’une mise à jour. C’est un peu étrange mais, quand j’en parle de cette manière, j’ai un peu l’impression d’appartenir à un autre monde. Quoiqu’il en soit, cette plongée dans l’histoire d’Hyrule aura eu l’effet positif de m’inciter à explorer ce monde plus en détails, en plus de me permettre de digérer les choses à mon propre rythme. Ces souvenirs, bien que parfois courts, et pour certains, peu significatifs, me semblaient suffisamment instructifs, et surtout, réels pour que mon attachement envers mes ex compagnons d’armes renaisse progressivement. En contrepartie, la solitude tenace qui accompagnait mon voyage dans le présent me faisait parfois regretter que tous ces évènements appartiennent au passé. Même si j’en comprends les raisons, je me désole aujourd’hui de ne pas avoir pu partager plus de moments avec la Princesse Zelda au cours de mon périple. Son rôle dans toute cette histoire lui aurait pourtant donné le droit de prendre une part plus active dans les évènements ayant conduit à la chute définitive du Fléau. Il est vrai que j’ai rencontré beaucoup de personnes intéressantes sur la route qui me menait à Ganon, mais il subsiste tout de même en moi cette impression que seule la finalité de ma quête a été en mesure de me faire connaître une intensité équivalente à ce que j’avais dû vivre par le être honnête, il m’est déjà arrivé de me demander ce qui se serait passé si j’avais décidé d’ignorer tous les précieux conseils que l’on m’avait prodigués, et si je m’étais simplement contenté de prendre d’assaut le Château d’Hyrule pour affronter Ganon, juste après avoir quitté le Plateau du Prélude. J’ai même tenté une première visite assez rapidement, par simple curiosité. La tâche ne me sembla pas impossible, compte-tenu du nombre généreux de ressources en tout genre trouvables un peu partout, mais les multiples rayons lasers des gardiens et sentinelles protégeant les lieux, et capables de m’annihiler en un seul tir, achevèrent de me convaincre que le jeu n’en valait pas la chandelle. D’autant plus que j’allais plus tard découvrir, cette fois-ci un peu par hasard, qu’une troisième quête à accomplir allait considérablement me faciliter la vie récupérer l’Epée de Légende. Mais pouvoir la manier allait me demander d’augmenter mon énergie vitale, que les Sheikahs aimaient à symboliser par des cœurs. Pour cela, il me fallait donc partir à la recherche d’autres sanctuaires de l'improvisation et de la redondanceDisséminés à travers le monde, ces sanctuaires, au nombre de 120, étaient en réalité des épreuves imaginées par les Sheikahs pour préparer le Héros de Légende au lourd fardeau qui l’attendait. Concrètement, il s’agissait de mini donjons coupés du reste du monde, dans lesquels il me fallait résoudre différentes énigmes ou abattre de petits gardiens. Les épreuves étaient de différentes sortes, me demandant le plus souvent d’utiliser les pouvoirs récupérés sur le Plateau du Prélude pour m’en sortir. Mais la chose amusante était qu’il m’était parfois possible de contourner certaines je me souviens de ce sanctuaire me demandant de diriger une boule Sheikah à travers un labyrinthe en utilisant une technologie appelée la gyroscopie. Après plusieurs essais infructueux, je me frustrais devant la difficulté à contrôler cet étrange système. Puis me vint l’idée de retourner complètement le labyrinthe, ce dernier laissant place à une surface parfaitement plane, où il m’était évidemment bien plus facile de diriger la boule où je le souhaitais. Parfois, il arrivait aussi qu’une épreuve se situe à l’extérieur d’un sanctuaire, ce dernier ne devenant accessible qu’après l’exécution d’une tâche précise, comme se placer sur une stèle Sheikah à un moment clef, ou prendre un Korogu en filature. Ces situations pouvait d’ailleurs arriver sans crier gare, comme lors de mon arrivée sur cette île semblant déserte que je partais innocemment explorer, pour me retrouver soudainement face à une épreuve assez fine dont je tairai ici la teneur afin de ne pas gâcher la surprise aux éventuels futurs héros qui souhaiteraient, un jour, la début, la visite de ces petits temples m’enthousiasmait. Mais progressivement, plusieurs choses commencèrent à me chiffonner. En premier lieu, si je comprends aisément pourquoi les Sheikahs ont jugé utile de tester mes compétences, j’ai plus de mal à saisir l’intérêt d’une telle quantité d’épreuves, beaucoup étant assez similaires, notamment celles de force, devant représenter pas loin du quart du nombre total de sanctuaires, en plus de ne constituer qu’une simple formalité une fois la technique assimilée. Je me demande aussi pourquoi certains pouvoirs comme le Cryonis ont été aussi peu mis à contribution… Sans doute parce qu’ils savaient que ceux-ci ne me serviraient à rien lorsque le moment d’affronter Ganon serait m’est également arrivé de me demander comment les Sheikahs avaient pu mettre en place certaines épreuves. Je me souviens notamment de ce sanctuaire, quelque part dans le désert Gerudo, où le panneau d’accès était bloqué par une jeune Gerudo assoiffée, réclamant un verre du cocktail maison du bar de la Cité Gerudo. Après avoir amené à bout de bras un grand bloc de glace à la tenancière de ce même bar pour qu’elle puisse préparer la fameuse boisson, je retournais voir la jeune Gerudo pour lui annoncer que son verre l’attendait à la cité. Cette dernière s’éclipsa tel un morse des sables, me laissant ainsi entrer dans le sanctuaire dans lequel j’appris que j’avais surmonté l’épreuve. J’ignore si la femme Gerudo était dans le coup, ou si les Sheikahs connaissaient l’avenir quand ils ont imaginé cela, mais j’avais tout de même l’impression que quelque chose n’allait pas dans toute cette cela pour dire que sur la centaine de sanctuaires que j’ai résolus, les derniers ont surtout trouvés leur intérêt dans les récompenses qu’elles m’apportaient les Emblèmes du Triomphe. Car c’est grâce à elles que je pouvais, en allant prier devant une statue de la Déesse, augmenter mon énergie vitale ou mon endurance. C’est ainsi que je pus rassembler la résistance nécessaire dans le but de prouver que j’étais le digne héritier de l’Epée de Légende. Mais pour mener à bien ma mission, mes préparatifs ne pouvaient s’arrêter à et KorogusJe décidais donc pour cela d’explorer plus en détail le Royaume, notamment en m’intéressant de plus près à ses différents habitants. Qu’ils soient Hyliens, Sheikahs, Gorons, Gerudos, Piafs, Zoras ou même Korogus, nombreux étaient les habitants des villages ou voyageurs à avoir besoin d’un service ou un autre. Certaines tâches pouvaient paraître ingrates comme la cueillette de 55 champignons tempo pour un vieil homme capricieux résidant dans un relais à proximité du désert Gerudo. Mais d’autres ont su me toucher, comme ma contribution à la construction du village d’Euzero avec mon ami Grosaillieh. Quoi qu’il en soit, je me satisfaisais largement des sourires qui s’affichaient sur le visage des gens à qui je rendais service, même si elles s’agrémentaient systématiquement de récompenses plus ou moins généreuses, comme l’obtention d’un cheval unique ou, plus simplement, quelques toutes celles que j’ai rencontrées, les Korogus restent probablement les créatures les plus singulières de tout Hyrule. Originaires des Bois Perdus, une grande partie d’entre eux s’étaient dispersés dans tout le royaume, me laissant le loisir de les retrouver. Un travail besogneux qui pouvait vite devenir écœurant si l’on s’y consacrait pleinement, surtout en sachant que les Korogus disparus était au nombre de 900 ! Fort heureusement, deux choses me poussèrent à faire quelques efforts. D’abord ma rencontre avec le Korogu géant Noïa, qui m’expliqua qu’il pouvait agrandir mes sacoches d’armes, arcs et boucliers, si je lui rapportais les noix que chaque Korogu me donnerait si j’en retrouvais. En plus de cela, le nombre de Korogus perdus était tel qu’il était fréquent que je tombe dessus par hasard, au détour d’un chemin, ou au sommet d’une colline. Pour les dénicher, il me fallait toutefois me livrer, là aussi, à certaines petites épreuves comme tirer à coup de flèches sur quelques cibles mouvantes, ou déposer une offrande dans un bac vide devant une statue pour que la petite créature daigne apparaître. L’urgence de la situation m’obligea à renoncer à tous les retrouver, mais j’estimais nécessaire d’en rechercher suffisamment afin de me constituer un armement conséquent, les terres d’Hyrule étant particulièrement armes de pacotilleEn Hyrule, l’une des premières choses à assimiler avant de foncer tête baissée sur le premier bokoblin ou le premier lézalfos venu, est que les matériaux qui composent les armes sont fragiles. Parfois très fragiles. A titre d’exemple, les armes faites de bois tiennent rarement plus de quelques combats contre des monstres basiques, et je m’étonnerai toujours de voir certains arcs se désintégrer dans mes mains après n’avoir tiré qu’une petite dizaine de flèches. J’ai bien fini par trouver çà et là quelques bonnes armes, dont certaines renforcées, capables de tenir un certain temps, mais je dois bien avouer que cette excessive précarité était parfois éreintante. Un détail d’autant plus gênant quand une arme cassait lors d’un affrontement contre un Lynel, m’obligeant à perdre le rythme du combat afin de chercher une nouvelle arme adaptée à ce terrible adversaire. Au moins, je ne courais pas trop le danger de tomber à court, dans la mesure où il m’était possible de récupérer l’équipement de tout ennemi anéanti, voire de le leur voler en parvenant à les désarmer. Cela dit, j’ai tout de même préféré éviter de livrer bataille à de résistants ennemis trop tôt, sous peine de voir toutes mes armes casser avant d’avoir pu leur porter le coup de grâce. Il m’arrivait donc de temps en temps de privilégier les bombes, peu puissantes, mais bien pratiques pour éliminer les groupes de monstres peu étrange que cela puisse paraître, même l’Epée de Légende avait ses limitations. D’une puissance de base modérée, ses attaques et sa durabilité doublaient face aux gardiens géants ou à l’approche du château d’Hyrule. Mais une utilisation prolongée amenuisait hélas son pouvoir, la rendant temporairement inutilisable une fois celui-ci épuisé. Une petite lueur d’espoir renaquit succinctement lors de mes rencontres avec les rares forgerons du royaume. Mais cette lueur disparût instantanément lorsque j’appris qu’ils n’acceptaient de réparer que les armes uniques des prodiges de jadis, moyennant un prix bien trop élevé et des ressources bien trop rares pour que l’investissement en vaille la cette désagréable contrainte ne me découragea pas pour autant à faire face aux nombreux monstres qu’Hyrule mettait sur ma route. Au début, j’admets que l’apprentissage fut un peu rude. J’avais peu d’énergie vitale ce qui me rendait facilement vulnérable aux attaques ennemies, surtout en ne portant que des guenilles pour toute protection. Pour m’en sortir, il me fallut apprendre quelques techniques qui pouvaient me sauver la vie, comme la garde ou l’esquive parfaite qui consistaient à repousser ou éviter l’attaque d’un monstre au bon moment, me conférant l’avantage de pouvoir enchainer derechef une série de contre-attaques. Ces mouvements ne furent pas faciles à assimiler, me sentant parfois gêné par une inexplicable sensation de rigidité qui m’empêchait parfois de me mouvoir avec autant d’aisance que je l’aurais voulu. Mais je m’accrochais tout de même, sachant que leur maîtrise me faciliterait considérablement la survivre face aux monstresHeureusement, même sans cela, je compris très vite que la plupart des créatures hostiles que je rencontrais ne seraient rapidement plus une grande menace, tant les moyens de leur résister étaient nombreux. La première chose qui me sauva la vie était les Fontaines de Grande Fée. Historiquement, les Grandes Fées avaient l’habitude de soigner les blessures des héros d’antan. Mais les affectueuses dames géantes que j’ai rencontrées me proposèrent plutôt de renforcer les capacités défensives des tenues que je portais. La seule contrepartie résidait dans le fait d’apporter les matériaux nécessaires à leur évolution, le plus souvent des matériaux de monstres. Lorsque je réalisai qu’une armure de soldat montée de trois niveaux, doublée d’une petite protection archéonique, me permettait d’encaisser plusieurs tirs de lasers de Gardiens sans mourir, je pris toute la mesure de l’aide que m’apportaient ces exubérantes déesses. D’ailleurs, leur rendre visite me donnait aussi l’opportunité de récupérer des petites fées. S’il m’était impossible d’en stocker plus de cinq à la fois, ces dernières me sauvaient de la mort si je prenais un coup qui aurait normalement dû m’être fatal. Autant dire qu’elles auront su préserver ma vie plus d’une commence à sentir une petite faim me tenailler. Sans doute est-ce par ce que je suis en train de penser aux nombreux plats que j’ai cuisinés qui, cumulés à l’aide des fées, me rendaient potentiellement invincible dans la plupart des situations. Chaque denrée trouvable en Hyrule était douée de vertus curatrices ou de propriétés avantageuses. Je pouvais évidemment les consommer telles quelles, mais aussi les utiliser dans une préparation afin d’en augmenter les effets. Du simple chutney de fruits au durian max augmentant pour un temps mon énergie vitale maximale, à la brochette de champis volts me rendant résistant à l’électricité, il m’était possible de garder avec moi plusieurs dizaines de plats, que je pouvais déguster à loisir à n’importe quel moment, y compris en pleine joute contre n’importe quel adversaire. De quoi plus facilement minimiser la gravité des blessures infligées par les monstres incapables de m’anéantir en un seul toute façon, le manque de variété du bestiaire d’Hyrule me facilita considérablement la tâche. A force de combattre des cohortes de lézalfos, de moblins ou de chuchus, j’élaborais nombre de stratégies efficaces qui me firent gagner un temps précieux. Les flèches élémentaires, notamment de glace ou de foudre, immobilisaient les ennemis de taille raisonnables quand elles ne les tuaient pas sur le coup. Les pouvoirs des quatre prodiges, quant à eux, telle la colère d’Urbosa, allaient me permettre d’abréger les affrontements contre les créatures les plus dangereuses, y compris les Lynels, très puissants et résistants, mais aussi, prévisibles. Je n’ai de toute façon pas jugé utile d’en affronter énormément, les combats contre ces centaures à tête de lion pouvant s’éterniser plus que de raison si les choses se passaient mal. J’ajouterai que les récompenses qu’ils me laissaient en cas de victoire n’étaient le plus souvent que des armes luxueuses à la durabilité discutable, et j’estimais pouvoir m’en passer. D’autre part, il me fallait aussi faire attention à la faune locale, certains animaux pouvant se montrer agressifs. Je devais par exemple faire attention à ne pas prendre un violent coup de sabot quand je m’approchais discrètement d’un cheval dans l’espoir de le dompter, ou trouver un moyen de rapidement faire fuir les meutes de loups qui m’attaquaient dès que je rentrais dans leur champ de une mission parfois difficileEn fin de compte, le domaine dans lequel mes multiples agresseurs m’auront le plus gêné fut sans aucun doute l’exploration. La nuit particulièrement, durant laquelle nombre de monstres squelettiques ou de chauves-souris apparaissaient à intervalles réguliers, me dérangeant pendant la résolution d’une énigme, ou complexifiant inutilement un combat déjà tendu. Le phénomène de la lune de sang initié par Ganon, ramenant à la vie la totalité des monstres que j’avais déjà occis, ne m’aida pas non plus. En effet, son apparition était susceptible d’intervenir en plein affrontement contre un groupe d’adversaires, ressuscitant au passage tous ceux que je venais de vaincre. Mais cette malédiction lunaire avait aussi ses avantages, comme celui de ne pas limiter mes opportunités de récupérer des matériaux de monstres. Voyager de jour était donc souvent plus confortable même si les membres du clan Yiga, une faction ayant décidé de soutenir Ganon, venaient eux aussi souvent jouer les trouble-fête sans je pense tout de même qu’en dehors de ces nombreux conflits parasites, le plus grand ennemi de mon périple fut le climat capricieux qui régnait dans ce royaume. Si les périodes de beau temps étaient un véritable plaisir pour profiter des paysages ou scruter les horizons à la recherche de lieux secrets encore inexplorés, je dus rapidement composer avec les drastiques changements météorologiques qui m’obligeaient de temps à autres à revoir mes objectifs. Dans certains cas, je trouvais des solutions comme des tenues ou des remèdes me permettant de supporter les grandes chaleurs du désert Gerudo, ou un masque capable de me protéger de la foudre susceptible de me tomber dessus par temps d’orage, à fortiori une fois équipé d’un armement métallique. Mais la pluie, pour ne citer qu’elle, s’apparentait à un cauchemar ayant raison d’une grande partie de mes possibilités, sans que je ne puisse y faire grand-chose. Altérant la visibilité, elle rendait surtout toute escalade quasiment impraticable, les parois devenant alors toutes bien trop glissantes. Certains héros d’antan avaient à leur disposition un instrument de musique qui leur octroyait la chance de pouvoir influer sur le climat. Mais malgré mes recherches, je fus bien incapable de mettre la main sur un tel objet, ni même sur une éventuelle tenue pouvant m’empêcher de glisser. Mon seul salut dans une telle situation était donc d’espérer trouver un abri aux alentours pour pouvoir allumer un feu de camp, et attendre que la pluie cesse. Dans le cas contraire, je n’avais plus qu’à remettre mon ascension à plus tard, étant donné qu’il n’était pas envisageable d’essayer d’allumer un feu sous une averse, ou de rester à patienter de longues minutes sans rien faire, en espérant que cette dernière s’arrête au plus vite. A ce sujet, je dois tout de même une fière chandelle à mon ami Revali, dont la rage qu’il me confia pour me permettre de me propulser dans les airs fut salvatrice lors des montées les moins grande aventure pas toujours facile à vivreCela dit, quand l’agacement et l’envie de tout abandonner s’emparaient de moi, je ne perdais jamais de vue que de nouvelles surprises m’attendaient souvent quelque part. Et quel grand chemin n’était pas semé d’un minimum d’embûches ? Il fallait avant tout éviter de se perdre en route, chose pourtant facile dans un environnement aussi spacieux. Combien de fois me suis-je retrouvé à marcher dans certaines contrées totalement désertes sans savoir où j’allais, pour ne finalement rien y trouver d’autre que le plaisir d’avoir un jour foulé le sol qui se trouvait sous mes pieds ?C’est pour cela que, le plus souvent livré à moi-même, il m’était nécessaire de m’organiser et de me fixer des objectifs clairs avant de partir à l’aventure. M’engager n’importe où au petit bonheur la chance ne pouvait générer en moi que frustration et sentiment de vide si je m’engageais dans la mauvaise direction. Essayer de trouver quelques sanctuaires, abattre un hinox ou deux afin de récupérer les viscères nécessaires à l’augmentation d’une armure, ou encore finir quelques une des missions que j’avais laissées en suspens, étaient autant d’objectifs possibles qui me permettaient de ne pas trop me disperser. Et dans les cas les plus extrêmes, me raccrocher à ma quête principale restait la meilleure option, me diriger vers une Créature Divine ou chercher l’un de mes souvenirs perdus étant le meilleur moyen de rencontrer de nouvelles personnes, ou de découvrir un nouveau point d’intérêt. En tout cas, si je suis aujourd’hui content d’en avoir fini avec cette aventure, qui m’a demandé un temps et un investissement considérable pour être menée à bien, je suis encore plus satisfait d’avoir pu en profiter comme je l’ai fait. Je pourrais parler de tant d’autres choses, mais cela ne me semble pas approprié vis à vis des futurs héros qui auront peut-être un jour la chance de vivre cette aventure. Et quelle aventure ce fut ! Il est vrai que je me suis parfois un peu irrité de certaines choses, mais rien ne fut assez pénible pour m’ôter le sentiment que j’avais vécu une quête grandiose et unique, qu’il me tenait à cœur de mener à terme. Je ne prétends pas pour autant qu’elle puisse être aussi marquante que celles de certains héros d’antan, comme celle du masque de Majora, ou celle du héros de l’île Cocolint. Mais je crois avoir vécu un voyage suffisamment extraordinaire, et surtout, unique, pour qu’il me tienne à cœur d’en partager ne serait-ce qu’une petite partie, avec ses joies et ses regrets, afin que tous ceux qui souhaiteront un jour le vivre sachent l’apprécier au moins autant que je l’ai fait.

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